Gare au loup. [Ae-Sook]

Invité

HWA - Ae-Sook

"Un beau soir, on frappa a ma porte
On m'annonça que Madame était morte,
On m'enfila les menottes aux poignets,
Et on me dit: "C'est vous qui l'avez mangé!"
"

Joueur
|- Prénom : It's a secret ~ ♥
|- Âge : 16 ans, quoi ? J'suis trop jeune ? *Sort sa hache.*
|-Comment as-tu connus le forum ? : It's a secret ~
|-Ahhh ! Et il te plais ? : Bawi, sinon je serais pas venu. ♥
|-Tu as trouvé le code ? : Code accepté par Aru

"Who you are ?" Description physique

J't'en pose moi des questions ? Nahméoh. Bientôt on va me demander la couleur de mes sous-vêtements ? J'vais vous apprendre quelque que chose monsieur le flic. On est dans un pays libre, c'est pas parce que j'vais me faire trucidé la gueule qu'il faut en profiter hein ! Pfff, bande d'emmerdeurs... Disons que je suis d'assez petite taille, mais c'est pas pour autant que je me laisse marcher sur les pieds, non non, je suis une teigneuse ! J'ai des cheveux verts, ne me demandez pas comment ils sont devenu ainsi, il serait impossible pour moi de vous répondre. Pourquoi ? Peut-être qu'en en lisant un peu plus, tu pourras répondre à tout cela, espèce de curieux. Mes yeux quand à eux sont de la même couleur et se montre vraiment très expressif. Impossible donc pour moi de jouer au poker, je me fais avoir tout de suite ! C'est injuste tout de même... Qu'est-ce que qu'on pourrait dire d'autre ? Hum, j'ai des traits de visage plutôt fin, et je suis fine de corps aussi donc, je peux supposé que ce sont mes os qui sont petits et fragiles, parce que oui, ces pauvres petits os en ont vu de belles ! Tordu dans tout les sens, cassés, re cassé, ah, j'en ai entendu des craquement... Je ne suis pas très forte, mais très sportive. J'ai du mal à me musclé et une personne normale ne pourrait pas me dire : toi, tu fais du sport ça se vois ! Parce que ce n'est tout simplement pas visible, pour la simple et bonne raison que mon corps ne doit pas vouloir que ce soit visible. Je me bat pourtant, parce que je trouve qu'un peu d' abdominaux sur une femme ça ne fait pas de mal, peut-être est-ce parce que je suis petit et que je parait fragile... Pendant qu'on parle d'abdominaux et tout cela, autant vous dire que bande de petits pervers, je risque de ne pas être intéressante longtemps ! Je n'ai aucune forme, non non, vraiment aucune ! Bon d'accord, peut-être est-ce que j'exagère... À peine.

Comment ? Je suis trop jeune pour modifié mon corps ? Ah, vous avez rêvé mes petits bout de chou. Je crache à la gueule des règles, je dépasse la barre toujours, je montre mon majeur à qui veut bien le voir. Tout cela pour dire que je fais ce que je veux, et si je souhaite me faire des modifications je le fais. Je ne parle pas ici de chirurgie esthétique, non non, je trouve ça complètement stupide d'ailleurs. Imaginez ça, moi, me faire de la chirurgie esthétique, mais pitié, donnez moi une corde ! Ce n'est pas comme si j'avais quelques défauts physique, non, tout le monde le sait, je suis parfaite physiquement. Quoi ? Tu ne trouves pas ? Ah ! Dans quelques instants tu ne pourras plus rien trouver de charmant mon mignon... Pour en revenir au sujet principale, et merci cette fois de ne pas me couper ! Je parlais donc de me percer un peu partout, et ajouter quelques petites marques qu'on appelle tatouage. Comment ça, vous ne connaissez pas ? Allons, ne faites pas vos frêles jeunes femmes vierge ! Vous savez, ce que les rockeur se font le plus souvent. J'ai développé ce genre de passion pour les piercings. En effet, j'en ai déjà quelques uns... Et ça ne fait que commencer. Je n'en ai aucun sur le visage, tout simplement parce que je pense que ce serait déformé mon magnifique visage, mais quitte à être trash, peut-être que je ferais ça dans un futur proche, si tout fois je trouve un tatoueur dans le coin... Roh et puis vous m’emmerdez ! Bref, je parlais donc des piercings; J'en ai deux sur chaque hanches, donc soyons plus clair pour ceux qui dorment au fond... Deux du côté droit et deux du côté gauche. Vous comprenez mieux ? Bien ! J'ai aussi un cleavage... Quoi ? Vous ne savez pas ce que c'est ? Soyons plus clair, ce piercing est situé entre les seins. Si j'ai eu mal ? Là n'est pas la question, je suis complètement maso... Encore un situé dans la nuque, un de plus au nombril et deux autres à un endroit plus osé, ceux là j'aurais peut-être un peu plus de mal à montrer. Je vous laisses un indice... Ça nourris les bébés ! Vous voyez ? Ah, voyez, vous êtes intelligent parfois.

Revenons à nos modifications corporel. J'ai parler de piercings, mais qu'en est-il des tatouages ? Eh bien sachez que je ne me suis pas autant fais de tatouage que je me suis fais de piercings, pour la simple et bonne raison que le budget n'est pas le même et que que c'est beaucoup plus long, ça reste à vie et que je préfère pas de connerie sur ma jolie peau. Ça n'est pas forcement du goût de tout le monde. Sur le côté gauche de ma hanche -avant que je ne me fasse percer- est dessiné un scorpion. Pourquoi le scorpion d'ailleurs ? Il indique pour moi la punition mérité. Pour en savoir plus, peut-être liriez vous mon histoire. ~ Dans le dos des ailes d'anges, disons que c'est un tatouage plutôt banal... Ça s'en arrêtes là pour le moment, du moins pas pour très longtemps. Là bas, il y a des tatoueurs ? Je verrais bien ! Ces tatouages ont pour moi une réelle signification, alors c'est pas pour faire "style", c'est pour garder sur moi les souvenirs du passé, pour ne pas oublier ce qu'il s'est passé, pour prendre conscience des choses, pour réfléchir. Bref, on ne dirait pas quand on vois mon visage, que je porte tout ceci sous le tee-shirt, n'est pas ? Ah mais c'est un massacre ! C'est sûr que quand je porte un débardeur, tout cela commence à ce voir, mais je n'ai pas besoin d'y montrer aux autres. C'est pour moi, pour mon propre plaisir, et les autres n'ont cas aller ce faire foutre. Je fais bien ce que je veux avec mon corps après tout, puisque c'est le mien. Tu demandes aux autres avant d'écrire sur ton cahier toi ? Bah voilà, c'est pareil pour mon corps, j’écris dessus si je veux.

Parlons peut-être maintenant pour ce qui est de ma tenue vestimentaire ? Ah, si je devais la décrire en un mot je dirais : légère. Qu'il fasse chaud ou non, j'aime me balader bras nus, ce n'est peut-être pas le cas de mes jambes qui sont bien trop souvent cachées par un Jean qui néanmoins est à moitié déchirer de partout, ça reviens à peu près au même que de ne rien mettre. Il ne faut pas oublier que je joue dans la provocation ! Mes tee-shirt sont de toutes sortes, parfois complètement transparent, laissant une vue sur mes sous-vêtements, et ce n'est pas ce qui va me déranger, puisque personne ne s'y intéresse vraiment, vu leur taille... Sinon les robes parfois vont leur apparition dans ma GRANDE garde-robe ! Des robes style gothique lolita, jusqu'au robe simple d'été, tout y passe. Je n'ai pas de style précis, je met seulement ce que j'aime, et venez pas saouler...

C'est bon, vous avez eu ce que vous vouliez ? Maintenant foutez moi la paix...

"Calm or Lunatic ?" - Caractère

Quoi ? C'est encore vous ? Oh mais fichez moi la paix ! Je sors de ma douche, vous n 'avez pas autre chose que de tourmenter une belle jeune femme à moitié nue ?! Raaaah, quel bande d’ingrats franchement. Bon, une dernière fois et vous me lâchez, c'est promis ? Booon... Très bien. Commençons par le commencement, et terminons par le terminisement. Comment ça j'invente des mots ? Ah, c'est ça, ou rien ! Je pense que vous l'aurez compris, je suis peste à mes heures et me prend pour supérieur, puisqu'entre nous, je le suis. Ah, je ne fais pas la fière quand se dresse devant moi un grand monsieur bien musclé. Je pars comme un lapin de garenne et pouf, plus d'Ae-Sook. Ma petite taille m'a bien souvent sauver la vie, c'est pourquoi je ne m'en plains pas trop . D'ailleurs, je déteste me plaindre ! Quoi, pourquoi est-ce que vous rigoler ? J'ai quelque chose sur le visage c'est ça ? Ah, vous m’embêtez ! Si je crois en quelque chose ? Plus beaucoup. Je suis né croyante et mourrais athée. Pour la simple et bonne raison que dans ce monde, trop de choses me sont arrivés, tellement que je n'en croyais plus rien. La guerre, oui, j'avais entendu ce genre de choses moi aussi, et je savais à quel point s'était ignoble. Je suis sensible moi aussi, même si je me cache derrière un petit air hautain. C'est un peu comme de l'auto-dérision, sauf que ce n'est pas pour faire rire, seulement pour faire mon intéressante. Je veux qu'on fasse attention à moi, et que tout le monde soit dingue de moi. Ah, finalement, je suis égoïste autant de l'extérieur que de l'intérieur. Je ne pense qu'à moi, après tout, qui ne le fait pas une fois qu'on est transféré ici ? Je suis une personne très peureuse, trop même. Un petit craquement de branche et je me met à courir comme si un homme armé d'un bazooka me poursuivait dans le but de faire une soupe avec mon corps. Je ne trouve pas l'idée charmante et moi, le gore ne m’intéresse pas vraiment. Enfin ça dépend, parce qu'il n'y a pas qu'une seule Ae-Sook. Il y a la petite princesse Ae-Sook, la précieuse, celle qui n'osera jamais se salir les mains et... L'autre, moi, cette qui préfère découvrir les boyaux de chacun, ayant peut-être pour but d'en faire un collier, qui sait. Du moment que ça peu gagner un peu d'argent, moi, ça me convient ! Ah, l'argent, oui, j'aime l'argent. Mais ici, ça ne sert pas à grand chose. On tue pour manger, et parfois on tue pour être mangé. Vous n'avez pas compris ? Je vous laisse y réfléchir un moment encore. Il est dur de décrire une personne qui est imprévisible, très lunatique et bizarre. J'ai parfois de bons rapports avec les autres, comme parfois je peux-être une crevure... Tiens, un petit chaperon rouge, et si j'allais m'en faire un dîner ? Non, je ne suis pas cannibale ! Enfin du moins... Je peux peut-être l'être en extrême nécessite, il paraît que ce n'est pas si mauvais que ça, l'être humain. C'est ignoble n'est-ce pas ?

Je suis une fille extrêmement jalouse. Je ne l'ai pas toujours été, j'ai appris à l'être. Que celui qui ose approché les personnes que j'aime, et je leurs présenterais Tout-mes-amours. En faite, Tout-mes-amours, c'est le nom de ma hache. Puisque oui, je donne des noms aux objet, c'est plus mignon et au moins on peu les engueuler sans chercher comment les insulté ou quoi. Tenez par exemple, c'est tout simple. Mon ordinateur portable qui est actuellement porté disparu... Je l'ai nommé Toshi, c'est simple, je hurle Toshi, s'il vient, il est en vie, sinon, il est mort ! Comment ça je suis folle ? Ah, j'avais sûrement oublier ce point là... La plupart des personnes ici sont folles, et je ne sais pas toujours pourquoi et rassurer moi que j'ai vu assez horreur, alors celle des autres ne m’intéressent pas. Donc j'ai des troubles un peu étrange et finalement on a jamais su m’analyser correctement, n'est-ce pas sympathique ? De toute façon j'ai peur des médecins sous toutes les formes alors ça m'arrangeais de ne pas leur rendre visite. Imaginez moi arrivé et leur jeté à la gueule que je n'étais qu'une erreur de la vie, que je voulais détruire le monde pour mon petit ami défunt. Elle me disait que j'avais de graves problèmes à cause de ce type, mais je ne sais pas si elle se rendait compte. A-t-elle déjà été amoureuse de quelqu'un auparavant ? Elle juge sans jamais avoir vécu quoi que ce soit. À tout les coups, cette femme n'était pas compétente. J'en faisais trop. Pourquoi ? Parce que je suis quelqu'un qui exagère tout, je fais des hyperboles ( j'ai appris mon cours ! ) et j'aime tout amplifier, ça m'accorde un peu plus d'attention.

Finalement, je ne fais que me donner une apparence, quoi que me défouler parfois sur de pauvres personnes plus faible que moi et sans défense n'est certainement pas de refus. Je veux détruire l'humanité mais je sais pertinemment que je n'en suis pas capable. J'ai regarder un tas de film ou il y avait des personnes ayant les mêmes ambitions que moi. Mais ça impliquait des scientifique et tout un bordel sans nom, ça ne m’intéressait pas. Il n'aurait pas voulu, Misaki, que je passe ma vie à me venger alors qu'il s'était sacrifié pour que je reste moi, je devais en profiter. Sur le moment je n'avais pas réfléchis et j'ai fais des erreurs, erreurs que je fais d'ailleurs encore aujourd'hui. Dans ce genre de film, les méchants échouaient toujours. En faite, je crois que ces personnes là se faisaient appeler terroriste. À bien y réfléchir je trouvais ça totalement stupide. Autant se tirer une balle et ça irait plus vite pour eux. Non, je ne voulais pas m'engager dans un combat. J'avais bien trop peur pour ma peau, pour ma vie, je préférais fuir comme une jeune gazette en proie d'un lion ( ou plutôt l'inverse ) , et ne plus jamais rencontrer la personne qui me voulait du mal. J'avais adopté un comportement étrange depuis que cet homme avait prit des ailes. Je commençais à parler toute seule. À vrai dire, je ne parlais pas vraiment toute seule, je lui parlais à lui, Misaki. J'étais certaine, même si certains trouve ça idiot, que Misaki était là, tout près de moi. Cette sensation que j'avais de le sentir en permanence dans mon cœur. S'était certain, je ne m'en remettrais jamais, et je ne veux pas m'en remettre. Ça voudrait dire l'abandonner, et tout le monde sait très bien que je n'abandonnerais pas, sûrement pas la personne qui a été le plus important à mes yeux. J'ai peur de perdre ce que j'ai, alors je m'accroche comme je le peux, je le protège comme je le peux... Par pitié, épargnez moi...

Maintenant laissez moi en paix.

"My Past" - Histoire

« Maman... J'ai peur... »
« Tu vas la fermée oui ?! »

Destin funeste, vie misérable, monde pitoyable. Qu'est-ce que je fou ici, moi, parmi tant d'autres personnes ? Qu'est-ce qui me permet d'être en vie alors que certains sont morts ? L'humanité est cruelle, ici, personne n'est épargné, personne ? Ah, il y a quelques petites personnes c'est sûr... Qui s'en sorte, mais ces personnes ne sont pas toujours très propre d'esprit. Ces personnes prennes des vie pour leur simple bonheur. En quoi tuer est si jouissif ? J'ai chercher à comprendre, mais jamais je n'ai réussis à achevé ma victime. En faite, tout ça a débuter quand j'ai vu un de mes amis garçon, dans les petites classes, torturer un petit chien. Il m'avait dit que s'était bien, ça semblait sympa vu qu'il souriait. Mes parents n'en avaient jamais rien à foutre de moi, parce que ma petite sœur était très malade et n'avait jamais quitter l'hôpital de sa misérable vie. Parfois je me dis que c'est moi qui aurait dû être dans ce lit d'hôpital, et pas elle. Les choses sont mal faites je crois. On m'avait donc mis dans un genre de refuge pour les orphelins... Je comprenais pas tout mais en claire, mes parents m'avaient abandonnés parce qu'ils n'avaient « pas le temps de s'occuper de moi ». Bien vite on m'avait mis dans un foyer avec une gentille famille ou tout le monde se fichait de ma présence. Bref, j'en reviens à ce garçon. C'est le seul à l'époque qui faisait attention à la transparente Ae-Sook. Je ne pouvais pas non plus me montrer trop voyante, je suis étrangère ici... Il m'avait donc montrer tout cela, mais moi, je n'avais pas le courage de faire du mal, alors je regardais, pleurant parfois. L'animal couinait et je me bouchais les oreilles. Pourquoi est-ce que je restais ? Et pourquoi pas ? J'avais peur d'être toute seule, et il n'y avait qu'avec lui que je me sentais en sécurité. Pendant les récréations, j'étais toujours cachée derrière lui, agrippé à un bout de son tee-shirt qu'il voulait bien me prêté. Ça me rassurais, vraiment. Il m'a dit que si je ne disais rien pour toutes les horreurs qu'il faisait, il me protégerait des méchants regards. Mais c'était un menteur... Les regards étaient tous méchants, même s'il me disait le contraire... Tout les soirs il me raccompagnait à la maison en me tenant la main, à cet âge ont est innocent ou plutôt... J'étais innocente. Quoi que... Je ne pense pas que je soit innocente. Parfois, je rentrais tâchée de sang, Ppalgenseak n'était pas quelqu'un de délicat. Comment, qui est Ppalgenseak ? Devinez... En réalité, j'ignorais son nom, mais je l'avais appeler Ppalgenseak, pour la simple et bonne raison que ça veut dire rouge dans ma langue à moi... Pour ce qui est de mes tâches, je me faisais seulement disputée lors du lavage... Tout les matins, Ppalgenseak venait me chercher, il ne voulait pas que je fréquente les autres. Les autres étaient méchants, c'est ce qu'il me disait...

Les jours me semblaient interminable, et ce n'était qu'une torture mentale qui ne prendrais jamais fin. Pourtant, quand ça terminais, j'étais heureuse... Oui, parce qu'après ça, il s'approchait de moi et me serrais dans ses bras en s'excusant, il me rassurait, et j'avais l'impression à ce moment là d'être un agneaux qui allait se faire dévorer par le loup, ce loup qui m’envoûtais. On était tout le temps enfermé, tellement que j'en venais à avoir peur de sortir seule. Je refusais d'aller chercher le pain pour maman, je ne voulais être avec personne d'autre que Ppalenseak. Pendant trois ans, chaque jours étaient même torture puis plaisir. Il jouait avec mes sensations, mes sentiments, mes pleurs et rire. Un bon manipulateur n'est-ce pas ? Un jour, j'ai fais une bêtise... Nous étions assis tout les deux sur le banc, notre banc de récréation. Et pour l'un des rares fois, il m'avait accorder un sourire, pas le même que celui qu'il avait quand son visage était remplit de liquide rouge, non, un réel sourire. Il en venait parfois à me tenir la main. Mais voilà que des garçons jouaient au ballon et que celui-ci partit un peu trop loin. Par gentillesse je m'étais levée pour le leur envoyer. Très grosse erreur.. En retournant à ses côtés, il ne souriait plus, et je crois que c'est à ce moment là qu'il a arrêter de sourire. J'ai assister, du haut de mes 10 ans, à la mort de quatre enfants. Enfin, je n'en avais pas encore conscience... À ce moment là, où il m'avait reprit la main et m'avait dit d'aller ailleurs. Le soir, alors que je regardais la télévision j'ai vu... J'ai entendu que ces quatre garçons qui jouaient joyeusement avaient disparu et que leur corps avait été retrouvé ensanglanté. Le lendemain, je suis aller en parler à Ppalenseak. Il m'a dit que c'étaient des pourriture, qu'ont devait fuir, sinon, il périrait lui aussi... Le soir même, j'ai fais mes bagages et ait fugué par ma fenêtre, le rejoignant. On s'était caché dans une cabane pendant presque un mois, on mangeait des trucs pas vraiment bon... En plus, il m'avait menotté à lui. Il voulait pas qu'on m'approche comme ça m'est arrivé la dernière fois. Si j'en avais parler à quelqu'un, on m'aurait dis de fuir, mais je n'avais que lui... Parfois, dans des crises de folie, il me blessait. Comme d'habitude, j'avais le droit à un moment de douceur après tout cela. Il y avait deux personnes en lui je crois... Un gentil et un méchant. J'aimais le gentil...

Finalement, un beau matin, alors que nous dormions l'un contre l'autre, alors qu'il me serrait si fort de peur de me perdre, les autorités sont arrivée et l'ont emmené, j'ai suivis avec les menottes, j'en étais bien obligée. On se tenait toujours la main, j'étais serrer à lui, et il n'arrêtais pas de s'excuser, me disant qu'il me sortirait de là rapidement, il me chuchotait des mots doux, il essayait de me calmer, mais s'était plus fort que moi, les larmes coulaient. Je savais qu'après ça, se serait plus jamais pareil, je savais qu'on allait me l'enlever. On a été mis dans une cellule, libéré de nos menottes, pourtant, nous étions toujours l'un collé à l'autre, il tremblait. Je crois qu'il avait peur, et moi, j'arrivais pas à calmer mes pleurs. C'est si douloureux de perdre la seule personne à qui on tenait. On m'a interroger pendant des heures durant, j'ai jamais rien dis, j'ai pas ouvert la bouche, j'ai pas dis un mot, non, aucun. Lui aussi ne disait rien. Et finalement, je passa près d'une semaine dans cette cellule avant de la quittée, seule. Les dernières minutes que j'avais passer avec lui étaient si courtes... Il me disait que j'avais été la seule personne capable de le comprendre, et de l'aimer malgré ses gros soucis, j'étais l'ange qui l'avait tiré de là, et s'était à moi de prendre mon envole. Il m'avait trop enfermé, je devais maintenant m'en sortir par mes propres moyen et j'en étais capable. Du moins, c'est ce qu'il me disait. J'ai supplier ces hommes en bleu de me laisser rester avec lui, mais il m'ont longuement parler.

« Misaki était maniaco-dépressif, il n'est pas net dans sa tête. »

C'est ce dont je me rappelle le plus. Alors il s’appelait Misaki ? Maniaco-dépressif ? Je m'en foutais, s'était lui après tout. Je voulais quand même rester avec lui. Il m'ont accorder de rester un peu plus longtemps, malgré le fait que cela soit interdit. C'est une psychologue qui m'a permis de rester. Elle a appuyer le fait que je pourrais devenir folle si je ne le voyais pas. Après avoir parler avec cette dame, elle avait comprit que j'avais besoin d'être avec lui. Et c'est sans jamais le lâché que je passa mon temps près de lui. Sans jamais bouger, je mangeais plus, j'avais plus faim non, j'avais bien trop peur de le perdre. Il arriva un moment où je dû vraiment partir. Un baiser d'adieu, mon premier baiser. Demain, il allait être envoyé je ne sais où, plus loin, il serait traité pour retrouvé plus tard sa liberté, mais j'y croyais pas trop. En rentrant chez moi, je ne parlais plus personne, et je ne mangeais toujours rien. J'allais au collège, j'avais à cette époque 13 ans, et on commençait à me tourné autour, j'aimais pas ça, et je priais pour que Misaki vienne me sauvée de la connerie humaine. Il avait raison finalement, on était bien tout les deux. J'espérais qu'on se reverrais vite. Apparemment il sortirait d'ici deux ans, son traitement avançais bien. Étrange pourtant, c'est une maladie psychologique incurable. Je savais bien que s'était un manipulateur hors-norme. Pendant ces deux ans, j'ai rien foutu, j'étais toujours seule et à vrai dire, le regard des autres me terrorisais... J'avais peur parce que je n'avais plus personne à mes côtés.

Quand il est revenu, pendant une semaine on ne s'est plus quitté. Il avait plus le sourire qu'à l'époque, et moi aussi. Il était un peu guéris, mais je n'y croyais pas trop. Nous étions deux maintenant, et nous avions la force d'avancer. Entre temps je m'étais fais mon tatouage dans le dos, signifiant l'ange qu'il décrivait quand on s'est quitté. Il n'avait plus d'élan de violence, mais on était passé dans un mode plus rebelle, plus rock. On a goûter à la drogue, l'alcool, le tabac, le sexe. On est allé loin. Je me suis percée un peu de partout, il a fait pareil. Il a tatouer mon nom dans sa nuque. Un soir, alors que nous rentrait de boite de nuit, on était bien défoncé, bien alcoolisé. C'est en sortant que j'ai entendu un coup de feu. J'ai pas tout de suite compris, il y avait un type avec un flingue et un mec à terre. Je me suis faite tirer plus loin par cette main protectrice, deuxième coup de feu, puis trois... Puis il m'a prise contre lui avant de me chuchoter un tendre : je t'aime. À l'oreille. Puis plus rien... Je sentais plus sa chaleur, plus son sombre... Quand il est tombé à terre dans un bruit sourd, j'ai vu le monde s'écrouler avec lui. Sur le coup, j'ai pas pleurer. J'ai redresser le regard, voyant le tueur, celui qui avait tuer mon monde à moi. Un tas de choses me sont venue en tête, je me suis approché du type, il n'a pas tiré, il tremblait, il avait peur... J'ai pris l'arme alors. J'ai voulu me donné la mort, j'ai voulu le rejoindre, là bas au moins, on serait toujours ensemble... J'ai ouvert la bouche, glissant alors l'arme à feu jusqu'à mes lèvres. Non... C'était stupide. J'ai retirer ce qui m'avait détruit, je lui ai ôté la vie comme il avait ôté la vie de celui que j'aimais. J'ai tirer quinze coups, je voulais plus m'arrêter, j'ai frapper son cadavre, avec un tas de choses, ce qui me venait par la main. Je hurlais, je devenais complètement dingue, je frappais de toute mes forces. Je comprenais maintenant pourquoi il tuait, pourquoi c'est tellement libérateur. Malheureusement pour moi, j'ai préféré finir la nuit près de celui que j'aimais, à pleurer contre son corps sans vie, le serrer contre moi, le supplier de revenir. J'étais idiote, complètement idiote, j'en devais dingue, je le frappais, je voulais qu'il revienne...

Le lendemain matin, alors que je pleurais exténuée contre ce corps froid, des hommes en bleu sont venu me chercher. Apparemment, un nouveau concept aurait été mis à jour .. Je profita de mes quelques jours parmi les miens pour me dessiné un scorpion, me rappelant ainsi, que j'aurais du le sauver... J'aurais pas dû être défoncée ce soir là, j'aurais pas dû, et peut-être qu'aujourd'hui, on serait heureux tout les deux. Demain, on m’emmène je ne sais où, Misaki, j'ai peur...

Dernière édition par Ae-Sook Hwa le Ven 27 Avr - 22:28, édité 1 fois

Très jolie fiche. Je n'arrive pas à croire le nombre de piercings que tu as sur le corps et ce que ça pourrait faire si on les arrachaient!
Une vraie fontaine de sang! Je sais, je vous offre une image horrible XD

Bref, j'aime beaucoup le concept du gars que tu t'es attaché terriblement et finalement il se fait tuer.
De quoi détruire que coeur de tout le monde. La perte d'un membre est toujours douleur...

Il te reste plus que ta psychologie. Je te souhaite bonne continuation en espérant pouvoir vite lire la suite.

Comme le chère Akise là fait, je tesouhaite la bienvenue en ce monde de fou et on attend avec impatience le reste de ta fiche !

Invité

Merci pour cette psychologie. J'ai pu lire une belle description folle.
Tu es validée

» Folle & fou, c'est si beau. »Ae-Sook