Louise Von Rosenschild ou l'histoire d'une aristocrate

Messages : 1 Date d'inscription : 16/04/2012

Von Rosenschild, Louise

"J'aime l'Extase, surtout quand il est dans mon sens.
"

"Who you are ?" Description physique

Louise est une jeune femme approchant les 17 ans, elle est petite, du haut de son mètre cinquante-cinq et paraît frêle et fragile, supportant ses quarante kilos sur sa fine ossature, malgrè celà, elle est bien formée pour son âge, toute en courbe et en rondeur, que ce soit de ses douces épaules à ses jambes galbées. Elle a des traits graciles, très fins, soulignant à la perfection le port de sa tête aristocratique. Deux yeux en amandes d'un jaune-vert malsain luisent au-dessus de son petit nez aquilin, s'accordant parfaitement avec sa bouche gourmande d'une couleur cerise naturelle.

Louise est comme sa situation noble l'impose, une démarche noble, un port de tête noble, des vêtements de facture noble et riche. Elle ne porte que des vêtements ressemblant fortement à ceux du XIXème siècle, corsets et robes décolletés sur le devant, enserrant sa taille et s'évasant à partir de là jusqu'à ses petits pieds menus, comportant souvant des chaussures à talons correspondant à son accoutrement du moment. Ambre et argent parre toutes ses tenues, lobes d'oreilles charnus, cou grâcile, poignets fins et doigts délicats.

"Calm or Lunatic ?" - Caractère

En société, la jeune Louise se comporte exactement comme tout le monde aimerait qu'elle se comporte en général. Calme, polie, réservée, spirituelle, une touche d'humour, charmeuse, bien qu'un peu froide et distante. Il ne faudrait pas qu'elle soit trop complice avec tout ces jeunes mâles. Ca en mettrait un sacré coup aux nobles de sa trempe et surtout, abattrait le déshonneur sur sa famille.

En réalité, la petite rouquine ne montre en société que la surface très surfaite d'elle-même, elle est farouche, sauvage, effrontée, insolente, glaciale, méprisante, fantasque et indéniablement folle. Pas de la folie douce ou de la folie a proprement parler. Non, une folie lucide, maitrisée. Comme tout ses faits et gestes. Il n'y a pas grand chose à dire, quand Louise veut ou accomplit quelque chose, elle le fera jusqu'au bout et ce, de façon impeccable.

"My Past" - Histoire

Je pourrais dire que ma vie, c’était l’extase. Pas l’extase comme certains pourraient le penser ou le croire, non. Mon extase à moi, quand j’avais dix ans, c’était entendre les os du hamster du voisin être broyé sous mes petites chaussures d’aristocrate fortunée. Ca fait un de ses bruits… C’était mon extase !

Mais ce hamster, c’était la fin d’un chapitre et le début d’un autre, par lequel préférez-vous que je commence ? Par le premier chapitre ? Je m’en serais doutée… Eh bien, asseyez-vous et écoutez-moi, je vais vous raconter l’histoire de Louise Von Rosenschild.
La petite Louise est la troisième enfant de la fratrie des Von Rosenschild, elle est née le soir de Noël, quel hasard, cette petite brunette est un véritable cadeau tombé du ciel. Oui, effectivement, jusqu’à ses sept ans, environ. Quand son petit frère et sa petite sœur sont nés. Ses grands frères ayant déjà quitté la maison depuis longtemps, Louise se retrouva seule par la suite, Papa et Maman préférant s’occuper des jumeaux et n’ayant plus besoin d’une nourrice pour le moment…

Le premier drame eu lieu ce jour-là, il était 17h56, c’était l’heure du bain de Benjamin, son petit frère. Sa mère lui avait gentiment demandé de s’occuper de lui tandis qu’elle habillait Adélaïde. Louise, ses grands yeux jaunes-verts luisant de malveillance et de jalousie, augmenta la température de l’eau du bain, ébouillantant ainsi le nourrisson. Son père, rentrant du travail, entendit les hurlements du bébé et accouru dans la salle de bain en même que sa femme. Au départ, il pensait à un accident, la fillette leur assurant en pleurant qu’elle pensait que Ben devait avoir froid…

Le deuxième épisode, c’est celui du hamster. Elle était allée jouer chez son voisin après l’école et avait emmené le hamster avec elle, caché dans son manteau. Arrivée dans une allée séparant les deux villas, elle posa la bestiole par terre et lui sauta dessus, à pied joint. Elle avait dix ans.

Le troisième épisode arriva deux mois après l’installation d’une famille étrangère, pas très loin de chez eux, le petit garçon qui habitait là, un hongrois, avait pris Louise en affection et l’invitait souvent chez lui, pour les devoirs, pour jouer ou tout simplement parce qu’il l’aimait bien. Au bout de quelques mois, Louise devait avoir onze ans à présent, c’était en février, elle sortit promener le chien de son ami qui était parti au sport d’hiver avec ses parents. Elle regardait les voitures passaient quand elle eut une idée. Elle entraina le pauvre chien dans les bois derrière l’école et le massacra à coup de pierre, lui ayant lié les pattes avec son écharpe au préalable. On retrouva le cadavre du chien deux semaines après la rentrée, pendant une sortie.

Le quatrième épisode se produisit peu de temps plus tard, Louise trouva un chartreux, d’un très beau gris et l’appela Leopold Albert de Birsenschtein, joli nom n’est-ce pas ? Oui, très joli, surtout une fois balancé du dixième étage d’un immeuble, éparpillé un peu partout, elle vous dira que c’était pour voir si c’était vrai que les chats retombaient toujours sur leurs pattes mais vu la bouillie dans laquelle il avait fini, elle n’avait pas eu sa réponse.

Ses parents ont commencé à s’inquiéter le jour où ils ont retrouvé le rat de leurs derniers fils broyés dans le mixeur et le cochon d’inde d’Adélaïde entièrement brulé sur la pelouse de la résidence. Oui, au départ, ils ne pensaient pas que les accusations faites à l’encontre de leur petite princesse pouvaient être vraies. Tout était discutable, ce n’est pas parce que leur fille est particulière, qu’elle était un monstre, maintenant, ils en avaient la preuve, oui, leur petite princesse de 15 ans, si belle, si bien coiffée avec ses longs cheveux bruns cascadant sur ses épaules fines et dans son dos, souvent parés de fleurs magnifiques, avec ses beaux atours digne d’une reine, qu’elle confectionnait elle-même ou qu’elle demandait à sa mère de faire sur-mesure pour elle, cette petite poupée aux yeux jaunes-verts étaient une psychopathe, une adoratrice de la torture, plus c’était long et sanglant, plus elle aimait, elle donnait des noms à ses victimes…

Mais pour les dernières victimes qu’elle fit… Elle en eu pas besoin… Ses parents, son petit frère, sa petite sœur… Ils avaient déjà tous des noms n’est-ce pas ?

---------------- .: Interview :.----------------

---------------- Pourquoi as-tu atterri ici ? ----------------

Eh bien, c'est très simple. Je me suis retrouvée ici à cause de tout mes crimes, ça me parait un tant soit peu logique. Pas à vous ?

---------------- Comment as-tu atterri ici ? ----------------

Ce sont mes deux frères aînés qui m'ont amené ici. William et Joshua, qui ont respectivement, vingt-deux ans et vingt ans. Ils se sont mis d'accord avec la Juge en vigueur lors de mon procès. Disant qu'un simple aller en prison ne serait pas suffisant. Que je devais payer pour ce que j'avais fait à notre famille moi aussi.

---------------- Comment l'avez-vous pris ? ----------------

Mal, très mal, affreusement mal. Mais, comme toute bonne aristocrate, je ne l'ai pas montré. Pas sur l'instant. Mais toute ma rage et ma colère, je l'ai fait ressortir ici. Pauvre garçon. Antonin qu'il s'appelait. Quel prénom horrible. Quel visage horrible. Il valait mieux pour lui qu'il devienne méconnaissable.

---------------- Et que feriez-vous si vous arrivez à sortir d'ici ? ----------------

Je me vengerais de mes frères, de la Juge et de tout les autres. Il ne connaisse pas la Mort, la Souffrance et l'Extase comme je les connais, comme je les côtoie. Je ferais en sorte qu'ils sachent et qu'ils apprennent.

---------------- Et ici ? Que ferez-vous ? La même chose qu'à Antonin ? ----------------

Pas forcément. Je peux aussi devenir leur professeur. Leur apprendre comment trancher dans le vif sans que la personne tombe dans l'inconscience, faire en sorte qu'elle voit sa propre agonie et faire éterniser les choses. J'ai plein de bonnes idées et cette fois-ci, personne ne dira rien si je les expérimente.

---------------- Eh bien... Je crois que nous avons fini. Bonne soirée Miss. ----------------

A vous aussi Frédéric. A vous aussi...

A votre avis ? Que lui est-il arrivé à ce journaliste qui ne pouvait plus partir ?

Dernière édition par Louise Von Rosenschild le Ven 20 Avr - 12:56, édité 1 fois

Une chose est sûre, je ne voudrais pas devenir un de tes animaux de compagnie X)
Je finirais sûrement en pleins de petits morceaux O_O
Enfin, j'adore ta fiche, la façon dont te tue les animaux aient très cruelle mais efficace pour s'en débarasser!

Original vraiment l'interview, je te valide
Bienvenue à toi modo